16 mars 2012
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21:30
Les repas servis dans les écoles se suivent mais ne se ressemblent pas. Depuis quelques mois, les menus ne sont plus joints aux relevés mensuels de la cantine scolaire. Ils arrivent au mieux à la
fin du premier mois, sur les deux indiqués, quand ils arrivent... Peu importe le menu, pourvu que ce qui est dans l'assiette soit apprécié. Sûrement. Faut voir. Hier, jeudi à l'abbaye, une grande
majorité d'enfants a laissé le repas du jour dans l'assiette... Heureusement qu'il y avait le yaourt et un petit pain pour se rassasier ! Ce n'est pas la première fois que le repas ne trouve pas
preneur, une partie seulement, mais jamais en totalité. L'histoire ne dit pas ce qui a été servi puisque nous n'avons pas l'information des menus de mars/avril... Jeudi 15 mars donc marqué d'une
pierre blanche. En attendant, avoir payé le repas pour être jeté fait un peu mal au cœur aux parents. Et mal au ventre de certains enfants. Après le mauvais débat de la viande dite hallal, les
espoirs de qualité bio, les proclamations de production agricole française, si nous revenions aux bases du goût, tout simplement ? Le débat, ou plutôt l'exigence, se situe là, et nulle part
ailleurs.
fin du premier mois, sur les deux indiqués, quand ils arrivent... Peu importe le menu, pourvu que ce qui est dans l'assiette soit apprécié. Sûrement. Faut voir. Hier, jeudi à l'abbaye, une grande
majorité d'enfants a laissé le repas du jour dans l'assiette... Heureusement qu'il y avait le yaourt et un petit pain pour se rassasier ! Ce n'est pas la première fois que le repas ne trouve pas
preneur, une partie seulement, mais jamais en totalité. L'histoire ne dit pas ce qui a été servi puisque nous n'avons pas l'information des menus de mars/avril... Jeudi 15 mars donc marqué d'une
pierre blanche. En attendant, avoir payé le repas pour être jeté fait un peu mal au cœur aux parents. Et mal au ventre de certains enfants. Après le mauvais débat de la viande dite hallal, les
espoirs de qualité bio, les proclamations de production agricole française, si nous revenions aux bases du goût, tout simplement ? Le débat, ou plutôt l'exigence, se situe là, et nulle part
ailleurs.