L’agression d’un joueur en plein jeu en cours est déplorable. Le dernier exemple et épisode Dimitri Payet (OM) en est l’illustration.
Cela doit être le moment de montrer que les réflexes des instances dirigeantes du football sont intactes : arrêt de match immédiat, victoire sur tapis vert de l’équipe du joueur agressé.
En appeler au Président de la République au lieu du Président de la Ligue (FFF) comme notre premier édile l’a exprimé hier apparaît assez cocasse en soi, sauf à vouloir en faire un thème aux présidentielles.
Il manque probablement un mini-sondage « si vous étiez Président de la République, siffleriez-vous la fin de partie ? »… pour envelopper le tout.
En attendant, allez siffler un ballon de rouge dans un verre blanc si vous n’êtes pas un bleu… mais un seul… Tchin !