La démocratie est un grand principe, applicable entre autre sur le territoire français.
Mais l’expression et la liberté de parole n’a pas toujours ses adeptes, pas au même niveau de tolérance en tout cas.
Le dernier exemple pisciacais en est assez symptomatique avec un premier édile qui attaque en diffamation une responsable d’association locale.
Le cas nous interpelle puisque la manifestation d’un mécontentement, validé par 350 (!) signataires d’une pétition, fait désormais l’objet d’une affaire judiciaire.
Le pragmatisme aurait voulu d’aller à la rencontre de l’intéressée autrement que devant la barre d’un tribunal.
Avec les révélations relatives au dernier « débat » début mars à Poissy avec le candidat Macron, il s’avère que la démocratie existe mais seulement si elle est sous contrôle.
Finalement les municipalités pisciacaises se suivent et… se ressemblent. D’autant plus depuis que la majorité municipale s’est orientée vers LREM, parti de convergence des MoDem et des socialistes reconvertis et plus récemment une bonne partie des LR et consorts. CQFD ?
Mais heureusement que le ridicule ne tue plus, à Poissy comme ailleurs.