Janine Small, présidente du développement des marchés internationaux pour Pfizer, a avoué devant le Parlement européen le 10 octobre dernier qu’aucun test n’avait été réalisé en amont sur la capacité de la vaccination a empêcher la contamination entre les individus.
Cette déclaration cruciale lors de cette session à Bruxelles met à mal toutes les politiques publiques et sanitaires, imposées notamment aux Français pendant deux ans et pourraient avoir, si la justice s’en saisit, des conséquences très fâcheuses pour les gens au pouvoir sur cette période. Pendant de longs mois, les grands médias se sont appuyés et ont pilonné l’opinion publique avec le slogan gouvernemental « Tous vaccinés, tous protégés » .
Mais à cette heure, à part quelques services de Fact-checking, qui tentent péniblement de désamorcer cette révélation, aucun grand média n’a parlé, ni répercuté les déclarations de Janine Small qui détruisent littéralement toute la politique coercitive du gouvernement, organisée autour de cette question sanitaire dont le pass sanitaire et le pass vaccinal, les entraves à la liberté de circuler, faisant aussi des non-vaccinés les responsables de la transmissions de la maladie.
La vérité commence à se faire connaître. Les responsabilités devront être établies dans cette affaire, à tous niveaux, qui s’annonce être un des plus grands scandales mondiaux, une vaste escroquerie.
Les remontées sur les nombreux effets secondaires, handicapants et parfois mortels, vont y contribuer.
Et raison de plus pour que justice soit faite pour les personnels suspendus.
Combien de mensonges ont été communiqués au grand public, tant par des influenceurs qui n’y connaissaient rien, que par de prétendus spécialistes qui ont promu les prétendus vaccins ARN. Des révélations vont être faites, les financements des Big Pharmas en font partie. Beaucoup de surprises à venir.