Cette journée de mardi 3 avril est annoncée comme une des plus difficiles.
La grève SNCF a un impact fort dans l’Ouest parisien, pour les usagers la galère du matin n’est rien par rapport à celle de ce soir, pour le retour...
Un RER A sur deux, ce matin, mais combien ce soir ?
Entre incompréhension et désinformation, l’enjeu réel est masqué par le sujet du statut des cheminots : la privatisation de l’exploitation des lignes est en arrière plan.
Grévistes et non grévistes auraient intérêt à modifier leur communication - et si possible leur action - pour mieux cibler et renforcer une efficacité assez improbable telle qu’elle se dessine vis-à-vis de nos concitoyens.
L’exemple de la Grande Bretagne est pourtant à portée de main.
Le seul « plus » de la situation sera de mieux connaître et retenir le nom de la ministre des transports : Elisabeth BORNE. Comme l’a mentionné un célèbre humoriste sur une station radio « a star is bornE »...