Gabriel ATTAL, premier ministre démissionnaire, mais toujours en activité, a annoncé l’ouverture de 232 centres de vaccination pour la variole du singe après avoir placé la France en "état d'alerte" maximum face à un virus transmis majoritairement par "contact sexuel anal" qui n'a été que rarement mortel dans la zone infestée (en Afrique), qui se guérit à 99,9%.
Le coût pour une ville de 30.000 habitants est entre 80 à 100.000 euros par mois.
C’est fou comme on trouve toujours de l’argent pour une vaccination pour une maladie quasi-inexistante en France tandis que les urgences manquent cruellement de personnel et que les hôpitaux ferment des lits !
Sans oublier les effets indésirables déjà enregistrés et connus :
Et attention aux apprentis sorciers avec la combinaison d’un vaccin contenant une souche même amoindrie du virus avec qui le virus a une réelle « chance » de développement d’une variante qui sera pire que l’initiale… plusieurs cas signalés après vaccination…
Bientôt à Poissy comme ailleurs (?)
La député européenne Christine Anderson informée sur Telegram :
Chers concitoyens,
Le texte suivant contient quelques théories du complot de premier ordre sur le thème de la « variole du singe ». C'est du moins ce que prétendent ceux qui croient ce que la télévision leur raconte. Mais comme presque toutes les anciennes théories du complot se sont entre-temps réalisées, nous en recevons maintenant une nouvelle.
Comme vous le savez probablement, l'OMS a déjà émis la semaine dernière l'alerte sanitaire mondiale la plus élevée pour la variole du singe (Mpox), bien que la propagation ne soit limitée qu'à certaines régions d'Afrique.
Vous savez probablement aussi qu'un jeu de simulation sur le thème de la « variole du singe » a eu lieu lors de la Conférence de Munich sur la sécurité en 2021. L'un des participants était Jeremy Farrar, alors directeur de la fondation pour la santé « Wellcome Trust » d'un milliard de dollars (financée notamment par la Fondation Bill & Melinda Gates). Le hasard a voulu que Farrar soit nommé scientifique en chef de l’OMS depuis l’année dernière.
Fin 2023, BioNTech conclut un partenariat stratégique avec la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI). La CEPI a été fondée à Davos en 2016 (le WEF lui adresse ses salutations) et est une alliance entre l'OMS, la Commission européenne, des gouvernements individuels, des sociétés pharmaceutiques, des donateurs (privés) et des fondations. Le « Wellcome Trust », la Fondation Gates et l'ONU se distinguent dans le panorama des investisseurs 2024.
En mai 2024, BioNTech et CEPI ont annoncé qu'ils élargissaient leur portefeuille de vaccins à ARNm, notamment contre le Mpox. Dans le même temps, le vaccin contre la variole du singe « Imvanex » de «Bavarian Nordic» est déjà produit au Danemark et est le seul à être approuvé à la fois dans l'UE et aux États-Unis.
Voilà pour les faits clairs comme du cristal. Si vous souhaitez en savoir plus, vous trouverez une liste de liens vers les sources dans le prochain article (malheureusement disponible uniquement en allemand).
Entre-temps, au cours de mes propres recherches, je suis tombé sur d’autres informations plutôt inquiétantes:
Saviez-vous que la Croix-Rouge autrichienne (section Tyrol), par exemple, recherche actuellement de nouveaux collaborateurs pour les centres de vaccination ? Les tâches comprennent la gestion des flux de patients, la préparation des codes-barres et des certificats de vaccination ainsi que la réalisation de vaccinations mobiles. Les candidats doivent notamment être « assertifs ». À partir de fin septembre, les nouveaux employés recevront un salaire brut d'environ 2 450 € par mois sur leur lieu de travail à Vienne.
BioNTech a déjà annoncé dans le journal économique allemand Handelsblatt qu'elle s'attend à ce que 90 % de son chiffre d'affaires total soit généré d'ici fin 2024.
Actuellement, BioNTech construit sa première usine commerciale de vaccins africains au Rwanda. L'accent est également mis ici sur les vaccins à ARNm contre la variole. De vieilles connaissances ont fait le déplacement pour l'inauguration : la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock se sont octroyé cet honneur douteux. D'ailleurs, l'Allemagne soutient le développement de la production de vaccins au Rwanda avec près de 36 millions d'euros d'argent des contribuables allemands.
⚠️ Chers lecteurs, croyez-vous aux coïncidences ?
‼️ JE NE CROIS PAS !
Suivez-moi sur Telegram : @christineanderson
Cordialement,
Bien à vous, Christine Anderson, députée européenne