Suite à différents signalements, y compris sur les réseaux sociaux, voilà l’initiative qu’il fallait prendre. 🤩

A Poissy comme ailleurs… mais surtout à Poissy…

On en reste presque sans voix, avec un seul mot à la bouche : Bravo ! 👏

Nous ne doutons pas que les interventions seront rapides et radicales… 😎

En tout cas, nous tenons à saluer l’action qui illustre la volonté de proximité avec nos concitoyens.👍

PS : Il ne reste plus qu’à faire de même pour la voirie, même si gérée par GPSEO qui n’est que délégataire de la ville, par la mise en commun des moyens. 😉

Le dépôt sauvage de déchets, la mairie de Poissy en a fait son cheval de bataille. Gérés par GPSEO puisque délégataire de la ville, les ramassages ont évolué ces dernières années, en bien comme en mal.

En bien, depuis la rentrée (octobre 2024) puisque les recyclables sont repassés en périodicité hebdomadaire au lieu de bi-mensuelle : quand il n’y avait plus de place dans la poubelle jaune, tout passait dans la bordeaux…

Pour les encombrants, le passage est devenu trimestriel après une tentative à quatre mois, après une fréquence mensuelle pendant longtemps.

Il y a également l’incitation à aller déposer soi-même ses déchets aux déchèteries - au pluriel - puisque GPSEO les a (enfin) ouvert depuis quelques mois à l’ensemble des administrés sur tout le territoire.

Mais encore faut-il avoir le véhicule adéquat ou à défaut une remorque pour arriver à y trimbaler ses volumes parfois importants.

Tout le monde n’a pas cette capacité ni même parfois l’envie… Résultat : les dépôts sauvages, en pleine ville…

Notre première édile est réactive lorsqu’un signalement lui est adressé, mais le passage coûte 1.500 euros, et c’est pour notre pomme, les contribuables Pisciacais…

La dernière photo postée sur FB est assez saisissante, rue Michel de l’Hospital.

Force est de constater que le savoir vivre n’est pas une valeur partagée par tous. Même si le passage renforcé pour les encombrants pourrait résoudre une partie, pourquoi ne pas penser à la mise à disposition de petites bennes, une par quartier, pour donner l’opportunité aux habitants la possibilité d’y mettre leurs volumes comme ceux vus dans la photo ?
 

Périodicité à définir ; un jour, un quartier ?

Affaire à suivre

Les habitants du centre-ville n’ont pas leur langue dans la poche, et il y a de quoi : les poubelles pleines et même débordantes de certains commerçants laissent une empreinte visuelle et olfactive déplorable.

Avec la chaleur (revenue…) et le temps qui passe, tout va venir s’amplifier, jour après jour, heure après heure.

Pour faire court, « ça pue et c’est dégueulasse » …

Mairie alertée, qui fait quoi, qui s’occupe de quoi et dans quel délai au moins pour palier à l’urgence ? puis de trouver une solution pérenne ?

Hier 29 juillet, rien n’avait bougé, c’est pire de jour en jour témoigne cette Pisciacaise sur les réseaux sociaux de cette urgence hygiénique.
 

Doit-on se plaindre ensuite de la prolifération des virus, Covid en tête ?
 

Le signalement récent d’une citoyenne ne doit pas faire oublier une situation qui perdure et qui donne l’impression que c’est depuis bien trop longtemps.

La situation appelle à l’action, de nos édiles en premier lieu qui se déclarent « terrain » à longueur de publications médias, et aussi au réalisme des besoins concrets des citoyens et d’un centre-ville avec des activités commerçantes. 
 

A Poissy comme ailleurs