Le 15 mai, le PSG organisait son premier atelier après le dépôt de permis de construire du « Campus PSG » le 18 janvier dernier.

Cela a été l’occasion de faire un rapide point sur le déroulé du projet. Ensuite la parole a été donnée aux participants qui ont posé des questions de suivi des actions en rappel des précédentes réunions : quid des deux rond-points - l’ un sur la RD30 au niveau d’Aigremont, l’autre sur la nouvelle rue de la Bidonnière - qui n’apparaissaient pas sur le plan mis à disposition hier soir...?

Encore des problèmes d’infographie, qui voulait limiter le périmètre mais il serait utile d’avoir enfin une vision plus précise que le PSG s’est engagé à donner pour le prochain atelier prévu en septembre, juste avant le début de l’enquête publique.

D’ailleurs, il y en aura deux, celle menée par le GPSEO et celles conjointes entre le PSG et la mairie.

Pour les questions posées par principalement les habitants des hameaux, les représentants du PSG ont confirmé les points évoqués lors des précédents ateliers. L’inquiétude était marquée pour la réalisation de la nouvelle rue, sans « rupture d’accès », tant routier que de fluides (électricité, eaux usées), pour laquelle il a été confirmé son principe. Plusieurs questions devront attendre réponse après les vacances d’été.

L’exercice du jour consistait visiblement à reprendre contact, mais sans apporter d’éléments réellement nouveaux. Un désaccord semble persister avec des habitants d’Aigremont pour l’accès des joueurs depuis la RD30, avec une différence de perception pour le flux de circulation et des embouteillages qui pourraient être engendrés. A remarquer qu’il y en aura probablement au début de la rue de la Bidonnière les jours de match au nouveau (futur) stade.

L’étude sur la « zone de réserve » située le long de la RD113 (ex-N13) a été lancée et sera finalisée en juillet et présentée en septembre également. À noter qu’un certain flou avait été entretenu à son sujet et même si le directeur de l’immobilier du PSG, monsieur RIFFI, s’était engagé à la même concertation, le doute reste permis.

Pour la constitution du « comité des riverains », la tendance forte est d’avoir une représentation de ceux de La Bidonnière et d’Aigremont, les plus proches du chantier, plus « Poissy-ville », Béthemont, pour arriver à un nombre maximum d’une quinzaine de personnes.

À voir les moyens de communication en mettre en œuvre, les acteurs (locaux : associations, écoles etc) à impliquer, sachant que le site web du Campus est présent pour relayer les informations. Le boitage de flyers reste une demande présente pour une diffusion effective.

Affaire à suivre.

Une conférence de presse sera organisée très prochainement. Merci à l’ensemble des organisateurs et participants de ce moment d’échange.

Celle de la RATP ne suffisant pas, les bus CSO-Transdev seront en grève ces lundi et mardi 14 et 15 mai.

Le transport en commun est-il en train de se tirer une balle dans le pied (les roues...) ?

50 ans après les événements de 1968, certains voudraient ils refaire l’histoire ?

Entre « la fête à Macron » et les manifestations à venir, c’est la « fête des usagers ».

C’est aussi la fête des automobilistes avec le prix du litre de gazole qui culmine à plus de 1,43 E, sans oublier la « fête des retraités » et leurs prélèvements « de soutien » à la politique gouvernementale.

Le mois de mai, joli mois de mai, est donc un mois de fête(s), pas uniquement commémorative(s)...

Avec la défection d’Anne-Marie VINAY, militante historique, chef de section pisciacaise et en dernier lieu première adjointe au maire de Poissy de 2008 à 2014, c’est une page socialiste qui se tourne à Poissy.

Dans son annonce, elle se fait suivre par une centaine d’adhérents dans les Yvelines, ce qui ne fait que confirmer le déclin de ce parti mis à mal sous la mandature Hollande.

À Poissy, malgré certains efforts, celle du maire Frederik BERNARD avait été le prélude à la débâcle de 2014 aux municipales et à la présidentielle de 2017.

Ce blog a d’ailleurs été créé en 2009 suite à la grande incompréhension (mutuelle, chacun doit prendre sa part) et la différence de vues sur les objectifs et pratiques constatées.

Se présentant comme ouverte, la démarche de l’équipe municipale majoritaire de 2008 s’était rapidement révélée politisée, idéologique voire sectaire vis-à-vis de ceux qui ne pensaient pas comme elle.

La légalisation du cannabis dans le projet présidentiel de 2017 aura montré que le socialisme avait fini par trouver ses limites dans la réflexion et l’acceptation des Français.

Au sein de ce parti sans tête crédible, les défections n’en sont que logiques.

Au tour de Les Républicains ?