Devant une omerta organisée par les médias mainstream, il nous est apparu intéressant et important de relayer le dernier « tweet » daté du 20 décembre (hier) du Professeur RAOULT, qui a été la cible de critiques et de menaces durant l’épisode Covid notamment :
« Le ministre de la santé s'en va. On est toujours là. On est les gentils !
Depuis le début de l’épidémie de Covid, 5 ministres de la santé se sont succédés, ils m’ont tous calomnié ou menacé, le temps fait le tri. Pour les deux derniers, il n’y aura pas eu longtemps entre leurs menaces publiques et leur démission, les deux premiers sont mis en cause dans une information judiciaire par la haute cour de justice (Buzyn,Veran) .
Pour nous les gentils, nous avons subi menaces de mort (le Pr Raffi condamné mais pas ruiné !), diffamations (Hirsch, K.Lacombe, JP Stahl), fait l’objet d’informations calomnieuses (fausses accusations d’essai illégal de traitement pour la tuberculose par Mediapart), de divulgation d'information confidentielle de dossiers médicaux (ceux de nos patients et celui de ma femme ont été violés par Carole Eldin).
Un groupe de harceleurs encore impunis utilisant un site de délation anonyme (pubpeer) a réussi à faire remettre en cause la validité de certains de nos articles.
Ceci n’est pas spécifique à la France, ni à nous. Depuis fin 2021, on sait que les chercheurs ayant une position différente de celle des gouvernements occidentaux (le travail anglais sur l’analyse de la gestion de la crise par Boris Johnson montre que les décisions étaient prises sans référence scientifique, par des amateurs, entraînant toute l’Europe par suivisme) ont subi les mêmes choses (menace, campagne de diffamation, utilisation de Pubpeer).
Ceci a été publié dans Nature et cela est effrayant.
Nature fait partie du groupe Springer qui est celui qui a le plus utilisé les diffamations de pubpeer avec une hypocrisie qui laissera des traces.
Il est dangereux de sacrifier sa crédibilité à des intérêts immédiats et d’instrumentaliser les ratés de la science pour des objectifs à court terme.
L’histoire continue, on est stupéfié de voir maintenant la composition du vaccin, mélange non prévu d’ADN et d’ARN dont la cible est mouvante, et dont on vient de démontrer qu’il faisait produire une protéine non voulue aux effets inconnus (Nature du 6 décembre 2023) .
Il n’est pas sûr que Darmanin ne nous empêche de le dire à l'avenir avec son projet de loi totalitaire sur la science qui doit obeir au gouvernement. Il faut avoir une sacrée audace pour proposer un texte pareil après s’être trompé si souvent !
Bonnes fêtes !
C’est nous les gentils ! »
Pour notre part, nous avions trouvé suspect l’empressement gouvernemental de forcer, pardon d’inciter fortement nos concitoyens à se faire injecter ; nous n’employons volontairement pas le terme de « vacciner » puisque trompeur quant aux effets réels et désormais connus de ces « produits » qu’ils ne bloquaient même pas la transmission comme cela a été prouvé.
Et dire que la politique de « protection » française et européenne avait été basée sur un mensonge, entraînant la folle décision de suspendre le personnel médical « non injecté » au moment où nous en avions le plus besoin…
La vérité finit toujours par se faire connaître.
Aujourd’hui lorsqu’on regarde et entend les dernières interventions sur les plateaux des « spécialistes », plus personne n'assume le "tous vaccinés, tous protégés", alors :
Pourquoi le pass ? Celui-là même qui violait outrageusement les droits individuels…
Pourquoi la vaccination des enfants ?
Pourquoi la suspension du personnel soignant en pénurie ? Pompiers, militaires ? ....
C’est nous les gentils.
PS : Certaines personnes ne comprennent peut-être pas pourquoi, l'épisode covid étant passé, nous continuons à dénoncer les faits.
La plupart des gens ne comprennent pas la fracture qui s'est produite en France durant la crise dite sanitaire : on a fait des sous-citoyens.
Sans doute ne vous rendez-vous pas compte de ce que veut dire cette phrase : on a fait des sous-citoyens. Et ce politiquement et délibérément, oui des sous-citoyens aux droits réduits car sans « vaccination ». Beaucoup garderont à vie ce douleureux, ignoble et totalitaire épisode.