La bataille syndicale au sein de la CGT chez Stellantis Poissy trouve son issue avec l’exclusion des membres de l’équipe « Mercier », et son leader syndical et politique.
C’est ce dernier point qui a motivé la démarche de la fédération nationale pour l’éjecter. Le tribunal de Bobigny a débouté les CGTistes locaux après une audience animée le 20 octobre dernier.
Conséquence immédiate, le basculement vers une autre centrale syndicale, SUD, avec un bond de 215 syndiqués.
Il va encore y avoir de belles luttes en perspectives. Mais celle des classes est-elle encore d’actualité avec la perte d’un million d’emplois dans l’industrie et deux millions de véhicules produits initialement en France désormais « ailleurs » ?
La grande question est de savoir si le pragmatisme sera au programme ? A Poissy en particulier.