On savait la situation difficile mais pas à ce point dans les hôpitaux français. Celui de Poissy-SaintGermainEnLay n’échappe malheureusement pas à ce triste et révoltant constat.
Avec la suppression de 17000 lits en cinq ans et la suspension des personnels non vaccinés, le défaut d’attractivité salarial et le départ de personnels vers le privé, notre gouvernement a mis ce service public de santé dans une situation dont nous voyons les effets actuellement.
Des enfants atteints par la bronchiolite sont même transférés à… 200 kms du domicile de leurs parents pour pouvoir être pris en charge.
L’accueil des urgences pédiatriques du CHIPS reste donc fermé jusqu’à une date non déterminée, avec appel obligatoire du 15 pour « réguler », entendez gérer la crise.
Le motif avancé est de pouvoir « préserver le personnel soignant » selon un syndicat du cru.
Pas un par contre ne penserait à réintégrer les personnels suspendus…?! Il est d’autant plus actuel de dire que « l’hôpital se fout de la charité » envers eux.
A ce point de bêtise, cela en deviendrait bientôt criminel. Les syndicats dans leur grande majorité sont les complices de cette situation : qui a élevé la voix dans leurs rangs lorsqu’en septembre 2021, certains de leurs collègues se sont retrouvés sans rémunération ? Qui élève la voix et essaye de les faire revenir ? Pas grand monde…
Et le plus pittoresque, on en rirait presque si ce n’était pas grave, tout le monde s’émeut pour les licenciés de chez Twitter, mais il y en a eu 4 à 5 fois plus en France, au sein des hôpitaux en septembre 2021.
Aux USA c’est rapide, mais en France c’est rapide et pervers : interdiction de travailler à l’hôpital du jour au lendemain mais pas licenciés non plus, simplement « suspendus » c’est à dire sans traitement, sans « Assedic » et sans RSA, bref sans revenus.
Et tout cela en totale contradiction avec le code de Nuremberg, celui défini post-seconde guerre mondiale en réaction aux expérimentations nazies. Car les « vaccins » n’en sont pas, pas encore puisque toujours produits de type expérimental jusqu’en 2023, et incapables de bloquer la transmission comme les vaccins classiques…
C’est à se demander si nous ne sommes pas dans un pays qui tient lieu d’hôpital psychiatrique, dirigé par des dingues au regard de la situation.
Lui qui les applaudissaient à la fenêtre lorsqu’il était Maire, notre député #circo7812 s’honorerait d’agir pour leur retour au lieu de déplorer et commenter la situation.
Quand on affirme être un homme d’action et de sagesse, ce serait le bon moment de le prouver. Si sa proximité présidentielle pouvait se traduire par une utilité, elle pourrait sûrement être celle-là.
#paysdedingues
#reintegrezlepersonnelsuspendu
#justicepourlessuspendus