VILOGIA est un des bailleurs à Beauregard, quartier dit « populaire » avec une population aux revenus modestes.
Ce gestionnaire de logements, appelons le logeur, a procédé à un redressement ou régularisation de charges, sur un rétroactif un peu long, ce qui aboutit à un montant de charges à payer un peu élevé.
« Un peu », le mot est faible… surtout quand la régularisation atteint plusieurs centaines d’euros.
Beaucoup de foyers sont impactés. A tel point que la première édile de Poissy a généré une réunion de quartier avec les habitants et VILOGIA. Sauf que ce dernier n’a pas daigné y participer.
Peut-être qu’il n’a pas su trouver un salarié, de bon niveau de responsabilité, pour se faire passer un savon par les présents. L’histoire ne dit pas s’il avait prévenu notamment notre maire qui s’est retrouvée bien seule. Heureusement que Samira TAFAT était à ses côtés.
On ne peut qu’espérer que VILOGIA trouve une solution, au moins d’étalement de paiement. La question est de savoir comment VILOGIA a pu négliger le calcul de ces charges qui datent de 2021, et ce qui justifie cet arriéré. Il s’agit aussi de savoir si la situation pourra être évitée à l’avenir.
En attendant, les habitants concernés restent dans l’expectative. Ne croyant plus au Père Noël, ils s’interrogent sur les suites de la démarche municipale.
Si l’affirmation « on ne vous lâchera pas » est de bon aloi, attention toutefois aux conséquences, notamment de faux espoirs car la mairie n’est pas dans la partie prenante.
Gageons que même s’il n’a pas eu lieu dans l’immédiat, le dialogue ne doit pas être rompu, mais repris.
A Poissy comme ailleurs