Réflexion personnelle
Il est hallucinant, presque surréaliste, de contempler l’acharnement avec lequel les mainstream, ces usines à fabriquer du néant, étouffent la vérité sous un linceul de silence.
Rien, pas une miette, de ce qui ébranle le monde aujourd’hui ne franchit leur barrage d’acier.
Les manifestations anti-guerre ? Rayées de la carte.
Les patriotes qui crient leur rage dans un désert d’indifférence ? Gommés.
Ce tribun Roumain, voix muselée d’un peuple qu’on refuse d’entendre, interdit de se battre pour les élections ? Étranglé dans l’ombre.
Le massacre en Syrie ? Enfoui sous des dunes de sable médiatique.
L’accord de cessez-le-feu ? Volatilisé.
Les drones Ukrainiens qui déchirent l’horizon de Moscou ? Dissous dans un brouillard complice.
Et à la place, qu’est-ce qu’on nous gave, en boucle, jusqu’à la nausée ? Des contes pour âmes tremblantes : "Protégez-vous, le péril guette ! La Russie, ce monstre aux griffes acérées, va nous engloutir ! Les Russes sont aux portes, prêts à dévaster nos illusions !"
Les médias, ces camelots du vide, ne débitent que des mirages, des ballons de baudruche gonflés à la propagande.
Notre président ? Un général autoproclamé, un virtuose de la paix en carton-pâte, qui manipule les peurs des Français comme un prestidigitateur agite ses cartes.
Un remake du grand guignol Covid, une farce où ses intentions puent la dissimulation : planquer ses casseroles, si nombreuses qu’elles déborderaient d’un bottin téléphonique des années 90, piller l’épargne des Français, s’emparer du trône de l’Union européenne et, tant qu’à faire, s’agripper au pouvoir en hurlant "guerre" pour se draper en sauveur.
Alors, voilà le constat, brut et sans fard.
Manifester devant l’Élysée ou sur la place de la République ? Une danse inutile sous les projecteurs éteints.
Non, c’est devant les officines de ces "merdias" qu’il faudra dresser nos poings.
Les contraindre, enfin, à révéler la vérité, cette flamme nue qu’ils noient sous leurs écrans de fumée.
Nous pouvons aussi dynamiter leur machinerie à endormir, si nous laissons la vérité jaillir comme un geyser incandescent. Les médias alternatifs sont la solution. Avec la hausse de leur audience, et la baisse de celle de ces merdias, beaucoup de concitoyens ensorcelés finissent par sortir de leur transe et reprendre la parole.
Peuple bâillonné, arrache le mors de ta bouche !
Pour Poissyscope
Fifi