2020, année terrible !
En regardant en arrière, que dire de cette folle période ?
Toutes nos pensées vont premièrement à tous ceux et celles qui ont été touchés par la Covid, que ce soit sanitairement parfois mortellement, comme économiquement.
Confinements et déconfinements auront mis en exergue l’utilité essentielle de notre système de soins et de tous les « petits » emplois, petits par leur rémunération.
Apres les acclamations aux fenêtres à 20h, palliatif bien maigre et dérisoire face aux risques pris et aux manques de moyens, certains diront aussi de vision/prévision, retour sur terre avec tous les impacts, visibles ou non.
Impact sur les salaires avec la mise en œuvre du chômage partiel : le budget des familles ont été restreints de fait.
Impact sur les prix : force est de constater que certains produits ont subi une hausse de prix qui n’a rien à voir avec l’inflation officielle. L’une ou l’autre enseigne de distribution a même fait du maintien un argument commercial. C’est dire...
Impact sur les habitudes : masques pas utiles au départ et obligatoires à l’arrivée, que d’aléas agrémentés de véritables sketchs de représentants gouvernementaux...
Impact sur la confiance : entre ceux qui ne savaient pas les mettre (les masques) et ceux qui argumentaient tout et son contraire, faut-il s’étonner de la rupture de confiance d’un grand nombre de Français ?
Après l’épisode des masques, des tests, des débats sur les traitements et les révélations sur les conflits d’intérêts flagrants de certains membres du corps médical français, des interdictions de prescriptions médicales suite à études médicales qui se sont révélées parfois bidonnées, voici l’épisode de la génération de la peur et du contrôle de l’information digne de « 1984 » de Georges Orwell.
Comment s’étonner de la défiance suscitée par l’arrivée miraculeuse en si peu de temps de vaccins (ou prétendus l’être) qui mettent généralement plusieurs mois ou années avant d’être avalisés, après la cascade de mensonges, contradictions ou fausses informations délivrées parfois par les plus hauts niveaux du système étatique ?
Impact sur l’économie : si certains secteurs ont réussi à limiter les dégâts, voire developper leurs affaires, artisans et commerçants, locaux la plupart , payent un lourd tribu. Mais pas seulement : jeunes diplômés peinent à trouver leur premier emploi et avant cela un stage de fin d’études, avec une impression de « génération sacrifiée » qui n’est que la confrontation avec la vraie vie.
Impact sur notre art de vivre et notre culture : une pensée pour nos bars, restaurants, discothèques, théâtres, cinémas, salles de concert, salles de sport etc, tous ces lieux et acteurs de l’événementiel qui créent du lien entre humains, et dont certains ne rouvriront pas...
Impact sur notre liberté : l’auto-délivrance d’attestation de sortie de chez soi restera épique et dans la mémoire de beaucoup d’entre nous; que dire de la tentative gouvernementale avortée (mais pas définitivement) de passeport sanitaire pour pouvoir voyager ou accéder à des services publics alors même que nos frontières sont passées quotidiennement sans contrôle par les voyageurs intra ou extra-européens et parfois sans autorisation ou le moindre papier d’identité ?
Impact sur l’information : le ciblage des réseaux sociaux, la mise en cause ou le dénigrement de citoyens, policiers, gendarmes, médecins ou professeurs de médecine, entre autres, qui ne suivent pas ou qui remettent en cause le diktat de la pensée unique d’activistes politico-religieux ou de certaines autorités (considérées passives voire complices) sont autant de tentatives pour réduire la liberté d’expression et l’accès à l’information. La montée en puissance de chaînes d’information en ligne, différentes de celles en continu, attise les velléités de contrôle, y compris par interdiction d’expression.
L’année 2021 permettra-t-elle de revenir à un certain niveau de raison et de raisonnable ? Ou serait-ce la perspective d’une crispation encore plus forte de notre société ?
Car la troisième vague annoncée, sur base de positivité de résultat aux tests, et le reconfinement qui serait décidé en conséquence, finirait d’achever des pans entiers de notre économie.
La relecture de certaines pages de l’histoire de France devrait inspirer ou rendre attentifs nos dirigeants.
Pour le moment, place à la fête du passage à la nouvelle année. Pour rappel, elle sera confinée ce soir et les contrôles routiers renforcés en conséquence. Restez prudent et pas (trop) de folies ou d’excès.
L’année 2020 est décidément particulière à Poissy. Elle s’achève par une nouvelle qui laisse pantois : le vol de cinq Échographes, à 100.000 euros pièce, à l’hôpital.
La Videosurveillance n’a pas permis de voir qui a participé au larcin, particulièrement grave car il peut impacter des vies.
La piste serait des complicités internes, sans doute comme pour les précédents vols qui ont déjà eu lieu dans un passé récent.
Ne serait-il pas temps de le doter d’un système de sécurité à la hauteur des enjeux ? Quand le nombre de salariés et le flux de patients arrive à un niveau comme celui de POISSY, le contrôle d’entrée informatisé devient une nécessité de sécurité passive et active.
Il fait souvent des merveilles y compris dans les moulins.
Après l’agrandissement des locaux, l’entrée dans le 21ème siècle mériterait d’être totale.
Le ramassage des déchets, une voire LA future bombe à retardement à Poissy...?
Parue de manière bien anodine, la nouvelle brochure 2021 est pourtant claire, pleine de découvertes des nouvelles dispositions dès les premiers jours de janvier.
Le battement de ses pages pourrait ressembler à celui d’ailes de papillon... avec des répercussions dans la lignée d’un James Yorke et de sa théorie.
Car imaginez « un peu » le bouleversement des habitudes, mais pas seulement...
Le changement répond sans doute à la nécessité de s’adapter... mais force est de constater que les services rendus à la population vont être en net recul avec cette baisse drastique, radicale, du nombre de passages.
Les services sont divisés par deux a minima, voire trois ou quatre selon les nouvelles périodicités de passage !!
Ainsi,
- les déchets verts seront ramassés une semaine sur deux, mais aucun en juillet...;
- le papier seulement une semaine sur deux, les semaines paires ou impaires selon la zone;
- idem pour le verre (sans changement toutefois).
Le ramassage du « tout venant » est également divisé par deux avec plus qu’une fois par semaine au lieu de deux...
Et Attention, il n’y aura plus que trois dates dans l’année pour les encombrants !! Oui, trois... soit quatre fois moins.
Le plus drôle, faut-il en rire, consiste aux passages du mois d’août, en pleine période estivale, pour lesquels les dépôts recommandés la veille ne seront - plus que probablement - peu ou non respectés... difficile d’être en vacances en même temps, comprenez bien...
Au delà de cela, les dépôts sauvages risquent bien de se développer, malheureusement.
Si l’argument de la mutualisation des moyens municipaux au sein de l’intercommunalité GPSEO et de l'optimisation des services à la population est compréhensible, un tel bouleversement ne peut qu’interroger.
La question subsidiaire mais non moins intéressée et intéressante sera celle de l’impact sur le coût de la gestion des déchets : va-t-il être divisé en corrélation, par deux a minima ? Un (gros) doute est permis...
Si ce n’était pas le cas, le scandale s’annoncerait bien vite... se flairerait même rapidement...le nez bouché mais les yeux (grands) ouverts.
A ce moment-là, il ne faudrait surtout pas hésiter à investir et prendre quelques actions de l’entreprise de ramassage au regard de la perspective de probables bonds de bénéfices et de versements de dividendes... puisque le rapport entre charges et coûts prestations serait en forte baisse...
Pour vous en convaincre, il suffira de sortir votre calculette à la lecture de votre futur relevé de taxes locales et de faire une simple règle de trois... Vous verrez et saurez à ce moment là.
Pour Poissyscope, la mobilisation est d’ores et déjà lancée et rendez-vous est pris au mois de septembre 2021 sur le sujet.
« Poissy, ville propre » est et reste un combat quotidien.
Le Grand Show de Noël 2020 à Poissy n’en finit pas de faire parler.
La polémique lancée par Poissy Demain, groupe d’opposants à la majorité municipale, a mis le feu aux poudres durant la période de fêtes.
Exercice de mobilisation et d’animation municipale pour un épisode musical local, le show a été organisé et diffusé le vendredi 25 décembre au soir.
Passons sur les performances vocales de nos élus, qui n’ont pas tous loupé une carrière artistique, il est vrai, l’enjeu ou sujet de discorde se trouverait plus précisément dans la mise en exergue du premier édile.
L’usage de professionnels du spectacle a été très spartiate et cela figure également dans la liste des remontrances.
Sans nier le côté communication de l’opération, l’animation allant de pair avec l’animateur, l’angle d’attaque de Poissy Demain ne surprend pas finalement.
La déconnade aura bien fait rire petits et grands, même jaune pour certains.
L’entrée en matière se faisant à l’américaine, genre introduction de série du même genre, force est de constater que la farce n’était pas seulement dans la dinde de Noël...
Sans doute une future concurrence au Palma Show.
Et vive la bouffonnerie locale !